qui l'hiver ne sont qu'invitation à la mélancolie.
La brise vient me caresser avec douceur.
Je sens l'odeur forte de goëmont
vivant dans les bas-fonds et ramené
par la marée,
et sa raretée la rend inéstimable.
J'arrive enfin dans l'eau;
Les doux reflets du soleil ondulent sur la mer,
comme des serpent, ils glissent avec grâce.
Les vagues
semblent déposer sur le sable comme un onguent.
Le crépitement de l'écume me fascine,
pareil a de vigoureux étalons galopant au vent.
Je suis seul,
pourtant les fonds marins regorgent de merveilles,
L'horizon lui semble infini et inépuisable,
Et si l'estran était poésie?
tous deux arrêtent le temps,
et font jaillir nos sentiments.
Je suis sur l'estran...
Stevenn.B 2nd B
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