Le vent souffle en effrayant un cheval,
Le sable doux que les vagues recouvrent est comme emprisonné,
Le ressac de la mer claque, désenchanté.
Je découvre la solitude du phare au loin,
Il illumine la côte ainsi que les champs de foin,
Il guette les pêcheurs emportés par le courant,
Et regarde la forêt en dansant.
Je découvre la mélancolie des vagues,
Elles ondulent sur le sable et déposent des algues,
Nous sommes transportés au sahara,
Dans un merveilleux mirage, là bas.
Je découvre la fraîcheur de l'air,
La liberté de la mer,
Je veux m'évader en battant des ailes,
Aussi simplement qu'une coccinelle.
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